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Le blog du Vélo voyageur

Vous avez toujours frétillé à l'idée de partir découvrir le monde autrement ? Voyagez à vélo !

Côte de Granit rose à vélo : Bretagne nous revoilà ! (la suite)

Dans la première partie de l’article, nous vous avions laissé lors de notre arrivée à Lannion, la belle capitale du Trégor, à l’architecture originale. En effet, nous arrivons Place du Général Leclerc et nous avons l’impression que les bâtiments penchent vers nous. Nous continuons ensuite notre périple à vélo le long de la Vélomaritime. Le centre-ville de Lannion En route vers la mer, de Lannion à Perros-Guirec sur la Vélomaritime Après nos deux nuits à Lannion et une boucle totalement validée de Lannion vers la mer avec un retour par la très luxuriante vallée du Kerdu, nous avons pris la route vers Perros-Guirec. Nous avons été surpris par la diversité des routes et des paysages. On ne s’ennuie pas! Plus précisément, on passe de la forêt, à de petites routes au milieu des champs puis assez rapidement, on s’approche de la mer. Après avoir pris un peu de hauteur, nous sommes tombés sur un magnifique point de vue depuis la Pointe de Bihit. Dimitri sur la pointe de Bihit Le temps ensoleillé se prêtait parfaitement bien au paysage. Nous avons pu admirer toute la baie de Lannion et les nombreuses nuances de bleu dans la mer. Surtout,  nous avons pu prendre quelques photos pour convaincre nos collègues que, oui, nous avons eu du très beau temps en Bretagne ! Perros Guirec, le coup de cœur du séjour Nous continuons notre itinéraire sur la Vélomaritime, toujours de bonne humeur. C’est vrai, nous formons une très bonne équipe avec Dimitri! Nous avions un objectif : ne pas arriver trop tard à Perros-Guirec pour faire une partie du Sentier des Douaniers. C’était évidemment sans compter sur notre merveilleuse hôtesse du soir. En effet, après nous avoir présenté sa magnifique maison d’hôte, Véronique nous a gentiment proposé de boire une bière locale. C’est donc sur sa terrasse avec l’incroyable vue mer que nous avons profité de ce moment. Évidemment, après cette longue journée à vélo, Dimitri et moi-même, bons vivants que nous sommes, ne pouvions refuser l’offre. Malgré tout, nous étions toujours motivés pour découvrir le Sentier des Douaniers. Nous y sommes donc allés, et quelle bonne décision ce fut ! Le paysage face à nous était magique et m’a fait un peu penser à l’île de la Réunion. La végétation verdoyante et les couleurs du coucher du soleil nous ont fait oublier nos nombreux kilomètres du jour. Le bruit du vague étonnait Dimitri, un fracas assourdissant ! N’est-ce pas splendide ce coucher de soleil le long du Sentier des Douaniers ? Le lendemain, nous avons partagé un petit-déjeuner avec deux couples de vieux amis originaires de la région qui discutaient en breton. Un doggy bag rempli de kouign amann sous le bras et nous sommes partis chacun de notre côté jusqu’à Tréguier. Un itinéraire plus long pour Dimitri, un itinéraire plus court pour moi. C’est assez sereine que je me suis lancée dans mon étape. La signalétique de la Vélomaritime était superbe, je n’étais donc pas inquiète! Malheureusement, mon très mauvais sens de l’orientation m’a coûté de nombreux détours dans la ville, que je connais désormais par cœur, de nombreux kilomètres en plus et beaucoup de batterie en moins sur mon téléphone portable! Il fait beau cinq fois par jour en Bretagne Pour nos derniers jours entre Paimpol et Saint-Brieuc, le temps a été moins clément. Heureusement, notre aller-retour sur la belle Île de Bréhat a pu se faire sous un ciel bleu. Comme le dit l’adage : en Bretagne il fait beau plusieurs fois par jour. D’ailleurs, nous vous recommandons vivement de laisser les vélos à l’embarcadère et de visiter l’île à pied. Vous trouverez la visite plus agréable tant les chemins sont étroits. Le moment que nous redoutions est arrivé, et il le fallait pour vivre ce voyage en terre bretonne jusqu’au bout : nous avons pédalé sous une pluie battante.  Nous avons alors fait face pour gravir les côtes jusqu’à la route des Falaises entre Paimpol et Saint-Quay-Portrieux. Pourtant, je vous assure, les paysages le long de cette route balisée en valent l’effort et tout ce qui va avec. On avait l’impression d’être entre l’Irlande et l’Écosse, or, nous étions au pays historique du Goëlo, non loin de Saint-Brieuc, notre étape finale. Nous ne le savions pas encore mais, le centre historique de Saint-Brieuc est quelque peu perché. Nous devions encore l’atteindre. La route des falaises sous un beau ciel gris Y a-t-il des paysages qui supportent bien le gris ? En fait, qu’il vente, qu’il pleuve ou qu’il fasse grand soleil, les couleurs sont différentes alors quand les trois phénomènes ont lieu la même journée, on est un peu chamboulés ! C’est donc pour toutes ces raisons que nous avons été conquis par La Côte de Granit Rose. C’est encore une belle portion de la Vélomaritime que nous avons découvert et que nous avons hâte de vous faire découvrir à notre tour. Découvrez nos séjours sur la Côte de Granit Rose et profitez de l’air marin de la Bretagne !
Médélys
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Côte de Granit rose à vélo : Bretagne vous revoilà !

« Degemer mat e Breizh » ou autrement dit « Bienvenue en Bretagne » ! Ou même, en y réfléchissant bien plutôt re-re-re-bienvenue ! La Bretagne, on la connaît déjà pas mal avec tous les séjours à vélo que nous proposons déjà : le long du canal de l’Ille et Rance, du côté de Rennes et autour de Saint-Malo, ou encore à Belle-Ile ou Quiberon. Pourtant, à l’image de notre belle France, la Bretagne regorge d’endroits fabuleux qu’une seule visite ne permettrait logiquement pas de tout découvrir. Qu’à cela ne tienne ! Au Vélo Voyageur, on aime bien retourner sur le terrain, cap cette fois-ci sur la côte de Granit rose ! Médélys et Dimitri, votre équipe de choc, pour vous servir ! La côte de Granit Rose, kesako ? En Bretagne, on a une passion : se feindre de petits noms pour désigner les côtes : « comment ça, tu ne connais pas la côte d’Émeraude ? », « jamais rien vu de plus beau que la Ceinture dorée ! » ou bien encore « pour les vacances moi c’est la Côte d’Amour, sinon rien ». La côte de Granit rose n’échappe pas à cette logique, mais alors pourquoi cette paraphrase pour la désigner ? N’allez pas chercher très loin : la pierre est majoritairement composée de granit et sa couleur tire vers le rose. Et voilà pour les explications, terminé, bonsoir ! En réalité pour être plus précis, la côte de Granit rose s’étend sur une dizaine de kilomètres – de Trébeurden à l’Ouest jusqu’à Perros-Guirec à l’Est – dans le département des Côtes d’Armor. Ami géologue, le granit est composé de mica, de feldspath et de quartz. C’est ce savant mélange qui donne à la pierre une palette de couleurs aux tons rosés. Pourtant, plus que la couleur encore, Médélys mon binôme d’aventure ainsi que moi-même (Dimitri) avons été encore plus impressionnés par la forme particulière des roches sculptées par la mer et les vents : jusqu’où ira votre imagination ? On se sent petits devant de tels paysages, non ? Les préparatifs avant le départ pour Morlaix Pour élaborer un chouette circuit à vélo, l’accessibilité est un critère primordial. Au Vélo Voyageur, on trouve essentiel de permettre aux intéressés de rejoindre le départ de l’itinéraire en train. L’idéal est même que nos voyageurs puissent embarquer à bord avec leurs propres vélos s’ils le souhaitent. Alors, on cherche la meilleure solution, et parfois, elle apparaît très vite comme ce fut le cas pour Morlaix, qui accumule les bons points. A peine débarqués du train, Médélys et moi-même sommes fascinés par l’énorme viaduc. Un petit port, des ruelles avec des bâtiments à l’architecture vernaculaire et évidemment les premières crêperies, bienvenue au paradis ! Après une copieuse galette et une nuit dans un charmant hôtel familial, nous prenons la route avec un vélo musculaire et un vélo à assistance électrique. Et oui, il est important de connaître la difficulté de l’itinéraire et de faire chauffer nos gambettes ! Cap vers les premiers paysages maritimes des Côtes d’Armor Nous commençons le parcours confiants, une place importante étant octroyée au vélo. La signalétique Vélomaritime est très présente, ce qui nous permet de pédaler légers. Médélys me fait aussi profiter de ses premiers « hits musicaux », on ne va pas s’ennuyer ! Nous arrivons au barrage du Dourduff sous une sublime lumière qui rend le paysage grandiose. Et première ânerie pour l’équipe de choc ! La marée étant basse lors de notre passage, nous n’avons rien trouvé de mieux à nous exclamer que « la sécheresse ça se voit même en Bretagne » en prenant l’exemple des bateaux amarrés dans le sable, au lieu de l’eau. Nous n’avons compris notre bêtise que plus tard, lorsque la marée était haute et que les bateaux étaient effectivement bien dans l’eau cette fois-ci. Cette anecdote me permet néanmoins d’insister sur un aspect indissociable des côtes bretonnes : marée haute, marée basse, les paysages sont totalement différents. Chaque photographie physique et sensorielle est donc totalement unique ! Alors à votre avis, marée haute ou basse ? Tout schuss vers Lannion, porte d’entrée de la Côte de Granit Rose Les points d’intérêts ne manquent pas lors de cette première journée à vélo. Nous enchaînons ainsi les activités comme la visite du Cairn de Barnenèz, plus grand mausolée mégalithique d’Europe, avec des pauses photos sur des plages aux couleurs émeraude. Nous arrivons dans la baie de Locquirec et gagnons notre hébergement avec chambre vue mer, l’évasion continue ! Coucher de soleil sur la baie de Locquirec Après un copieux petit-déjeuner, nous reprenons la route direction Lannion! Toujours aidés du formidable balisage de la Vélomaritime, nous empruntons l’ancienne ligne de chemin de fer qui surplombe toute la grève de Saint-Michel pour arriver au Grand Rocher, d’où le paysage invite une fois encore à l’émerveillement. Il est temps de quitter pour un temps la Manche et de s’engager dans la vallée du Kerdu. Nous suivons paisiblement la rivière jusqu’à Ploumilliau et ressentons peu à peu l’agitation citadine : nous voilà à Lannion, en plein jour de marché. Des odeurs, en veux-tu, en voilà ! Nous n’avons que l’embarras du choix pour notre pause casse-croûte avant de rejoindre nos conviviaux hôtes pour deux nuits. Deux jours, deux nuits et tout autant d’aventures que vous pourrez découvrir lors de notre prochain article. Restez connectés ! Arrivée à Lannion à l’heure du déjeuner, elle est pas belle la vie ?
Médélys
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Excursion sur l’île de Ré à vélo

Par Bérangère J’avais promis de vous raconter la suite de mes explorations du mois d’août. Après avoir sillonné les pistes cyclables d’Oléron, me voici sur le bateau qui assure la liaison entre Oléron et La Rochelle. Il est possible d’embarquer avec son vélo depuis Saint-Denis (en été seulement) ou Boyardville. Pensez à vérifier le calendrier cependant, les rotations n’ont pas lieu tous les jours. La traversée est très agréable et permet d’admirer de près Fort Boyard et les tours d’enceinte du Vieux Port de La Rochelle. Je débarque en fin d’après-midi, direction l’île de Ré ! De La Rochelle à l’île de Ré à vélo Je ne pars pas complètement à l’aventure car j’ai déjà fait cet itinéraire 2 fois. Nous avons choisi de suivre le parcours vélo « par la plage de Chef de Baie » pour guider nos voyageurs jusqu’à l’île de Ré. Ce n’est pas l’option la plus courte mais c’est sans conteste la plus jolie. On bénéficie de belles vues sur la côte avant un  passage obligé dans la zone industrielle de La Pallice. Chemin littoral à la sortie de La Rochelle Malgré mon expérience, je fais de nombreux détours, induite en erreur par les panneaux manquants ou trompeurs. Ce n’est que sur le parking de la plage de Chef de Baie que j’arrive à retrouver les indications « île de Ré à vélo ». On longe les silos et usines avant d’entrer dans le centre-ville de La Pallice aux airs de village méridional. On arrive ensuite dans les lotissements où il manque littéralement 2 panneaux vélo pour que l’itinéraire soit facile à trouver. Après être passé au-dessus de la voie rapide, je rattrape sous un orage grondant la piste cyclable qui mène directement au pont. Vue sur le pont de l’île de Ré Le passage du pont de l’île de Ré à vélo est sécurisé, la piste cyclable étant séparée des voitures par un parapet. La difficulté vient plutôt de la montée et du vent marin mais on croise de nombreux cyclistes de tous les âges ce qui donne du courage ! Je savoure la vue sur la jolie plage de Rivedoux dans la descente. Inutile de vous dire que début août, nous sommes nombreux sur les pistes cyclables de l’île de Ré. Malgré ce que j’ai pu entendre, je trouve que chacun fait preuve de courtoisie. J’atteins le pittoresque port de La Flotte, pile à l’heure de l’apéritif et observe avec envie les terrasses animées. Il me reste encore quelques kilomètres pour rejoindre mon étape du soir, le Blois plage, où nos voyageurs font étape pour profiter des plages océaniques toutes proches. Boucles vélo sur l’île de Ré vers Saint-Martin-en-Ré et Loix Après une nuit récupératrice, j’enfourche mon vélo pour refaire nos excursions à la découverte de l’île de Ré. Le temps m’est compté car je dois reprendre le bateau en fin d’après-midi. Je choisis de faire l’excursion la plus évidente depuis Le Blois plage : la boucle vers Saint-Martin et la presqu’île de Loix. Dans Saint-Martin, plutôt que de longer les remparts, je m’enfonce dans le centre du village et passe devant l’église et l’hôtel de ville. L’atmosphère est complètement autre que sur le port, on y savoure le calme à l’écart de la foule des touristes. Je ressors par la porte des Campani et continue sur la piste cyclable le long du front de mer vers Loix. L’approche de Loix est toujours aussi belle : la piste cyclable emprunte un chemin blanc à travers les marais ponctué de pontons en bois et débouche sur le petit port de Loix. La nature de la presqu’île est préservée et le village sous des abords assez timides accueille le visiteur avec l’authenticité d’une île sur l’île. La piste cyclable entre Saint-Martin-de-Ré et Loix Sur le parcours pour sortir de la presqu’île, je passe devant l’Ecomusée de Loix, qui mérite amplement une pause. Ce musée retrace l’histoire des marais salants, explique le travail des sauniers et met en lumière les autres richesses moins connues du marais. La fin de la boucle traverse le centre de l’île avant de rejoindre le village du Bois plage. J’ai le loisir d’admirer le charmant centre-village puis de traverser le marché à l’heure de pointe. Retour du Bois plage vers La Rochelle Les choses seraient simples si nous avions choisi de prendre le même itinéraire qu’à l’aller pour retourner à La Rochelle. Mais l’île de Ré a tellement à offrir que nous avons bien évidemment opté pour un nouvel itinéraire, passant de l’autre côté de l’île par Sainte-Marie-de-Ré. Je me tartine de crème solaire et monte fissa en selle pour ne rien rater du chemin au retour. Si la première portion du parcours sur une piste le long de la route est plutôt monotone, on s’émerveille dès l’entrée dans Sainte-Marie-de-Ré. Le village semble habité avec discrétion ou peut-être est-ce l’heure de la sieste. Je pédale dans des ruelles bordées de maisons blanches à volets verts et de roses trémières, comme sur les cartes postales. Ruelle dans Sainte-Marie-de-Ré La sortie du village est plus ardue à trouver car de nouveaux quartiers ont été construits et les déplacements à vélo pas encore marqués. Je fais plusieurs demi-tour avant de retrouver la piste principale. J’atteins ensuite rapidement le pont et cette fois-ci, reprend le même itinéraire qu’à l’aller entre le pont de Ré et le Vieux Port de La Rochelle. J’arrive 5 minutes avant le départ du bateau pour Oléron, encore séduite par ma balade sur Ré à vélo. On ne s’en lasse pas ! Navette Interiles au départ de La Rochelle
Bérangère
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A la découverte de la Dordogne – partie 2

La première partie de notre voyage nous a emmené de Bergerac au sommet des cingles de Limeuil et de Trémolat, pour ensuite passer à Limeuil, un des plus beaux villages de France jusqu’à la vallée de la Vézère. Nous sommes ensuite partis en canoë pour visiter la vallée par la rivière. Nous y avons vu des grottes, des falaises et le village troglodytique de La Madeleine. Et enfin, nous sommes partis à pied à la découverte des Eyzies. Voir l’article 1 ici Envie de connaître la suite ? C’est parti ! Après la marche dans les Eyzies, nous récupérons nos vélos et nous voici partis le long de la Vézère à la découverte de ses trésors cachés. Premier arrêt à Saint-Léon-sur-Vézère. Ce village médiéval typique du Périgord Noir, classé également parmi les Plus Beaux Villages de France, est entouré par ses 3 châteaux et chérit fièrement sa très belle église romane du XIIème siècle. Deuxième arrêt pour admirer quelques instants l’imposant Château de Losse nous faisant face de l’autre côté de la Vézère. Cette impressionnante forteresse médiévale bâtie à pic domine la vallée de la Vézère. Une visite plus approfondie permet de découvrir les somptueux jardins du château. Notre journée s’achève à Montignac, charmant village qui regorge de petites ruelles médiévales, de maisons sur pilotis ou à pan de bois, de lavoirs et de fontaines. Le village renferme avant tout l’un des plus précieux joyaux de la préhistoire : la grotte de Lascaux. Château de Losse Montignac Le lendemain matin, nous prenons donc la matinée pour aller visiter l’immanquable et tant renommée grotte de Lascaux, du moins le dernier fac-similé reproduit de la grotte ouvert en 2016, Lascaux IV. En effet, la grotte originale découverte en 1940 est fermée au public depuis 1963 pour des raisons de conservation. Un premier fac-similé a été ouvert en 1983, Lascaux II, mais représentait seulement 2 cavités de la grotte. Lascaux IV offre une véritable immersion dans une reproduction intégrale de la grotte grâce à une technologie 3D de pointe. L’atmosphère est celle d’une véritable grotte, sombre et humide. Une fois l’expérience de la grotte terminée, différents espaces au style épuré et moderne nous invitent à approfondir nos connaissances sur l’art pariétal et son interprétation par le biais d’outils numérique de dernière génération (écrans 3D, réalité augmentée…). Autant vous dire que nous aurions pu passer la journée là-bas ! Notre chemin se poursuit ensuite jusqu’à Sarlat-la-Canéda, capitale du Périgord Noir. Labellisée « Ville d’Art et d’Histoire », la cité médiévale détient la plus forte densité en monuments historiques classés, un véritable musée à ciel ouvert ! Nous arpentons ses nombreuses ruelles pavées de la ville, découvrant à chaque coin de rue des passages voutés et hôtels particuliers plus sublimes les uns que les autres. Le lendemain, nous faisons une petite halte au marché de Sarlat, lieu incontournable pour tous les gourmands et gourmets ! Il faut dire que la région n’est pas en reste côté gastronomie : foie gras, cèpes, confit de canard, noix, truffes et fraises, heureusement que le vélo est là pour savourer sans culpabilité ! Marché de Sarlat Le lendemain, nous partons créer une boucle depuis Sarlat en passant par les plus connus et prestigieux châteaux du Périgord. Nous commençons par admirer le château de Montfort perché sur son éperon rocheux, puis prenons de la hauteur pour visiter le village perché de Domme, bastide aux pierres dorées classée parmi les Plus Beaux Villages de France. Domme Notre chemin nous mène ensuite jusqu’à La Roque-Gageac, époustouflant village aux maisons aux toits de lauze adossé au pied d’une colline escarpée et protégé par le magnifique Manoir de Tarde. Puis, nous quittons ce coin de rêverie et admirons en route l’imposant château de Castelnaud dominant fièrement la vallée de la Dordogne. Le château abrite depuis 1985 le musée de la guerre au Moyen-Âge. Face à lui, de l’autre côté de la Dordogne, un autre joyau architectural médiéval : le château de Beynac, l’un des mieux conservés du Périgord et classé monument historique. Dressé au sommet d’une falaise vertigineuse, le château fort veille sur la Dordogne depuis plus de 9 siècles ! Enfin, nous rentrons à Sarlat par les hauteurs, exaltés par toutes les merveilles que nous venions de contempler. La Roque Gageac Château de Beynac Les jours qui suivent, nous retournons à Bergerac en passant par la charmante bastide de Belves et les vignobles de Monbazillac, puis nous faisons un crochet par Bordeaux pour tester l’itinéraire Bordeaux – Saint-Emilion – Bergerac et ajouter un côté vignoble à nos futurs séjours, amateurs de vins tenez-vous prêts ! Vignobles de Saint-Emilion Dégustation de vin à Bergerac Pour donner une conclusion à notre périple, nous avons encore une fois de plus découvert une magnifique région qui se prête extrêmement bien à la pratique du vélo. Ce que nous retenons de la Dordogne est la grande diversité de ses richesses naturelles, culturelles et gastronomiques, il y en a vraiment pour tous les goûts ! Nous en sommes persuadés ces nouveaux séjours plairont à grand nombre de nos clients aux intérêts divers. Venez découvrir la Dordogne avec le Vélo Voyageur, vous ne serez pas déçus ! ???? #mc_embed_signup{background:#fff; clear:left; font:14px Helvetica,Arial,sans-serif; width:100%;} /* Add your own MailChimp form style overrides in your site stylesheet or in this style block. We recommend moving this block and the preceding CSS link to the HEAD of your HTML file. */ Inscrivez-vous pour apprendre à planifier votre prochain séjour vélo! 6 mails pour tout comprendre: Quand, où, comment, avec qui partir !
L'équipe du Vélo voyageur
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A la découverte de la Dordogne à vélo – partie 1

Territoire riche d’activités et empreint d’histoire, cela faisait quelques temps que l’idée de développer des séjours à vélo là-bas nous trottait dans la tête. Nous voilà donc partis, Dimitri et moi à la découverte de cette région à vélo ! Créer de nouveaux séjours à vélo en Dordogne ne fut cependant, pas une mince affaire tant la région regorge de trésors : villages troglodytes, châteaux, bastides, jardins, grottes, rivières, vignobles, forêts… Nous savions donc qu’il fallait d’abord se concentrer sur ce que nous voulions voir et faire avant de commencer à pédaler. Notre périple a débuté au bord de la Dordogne à Bergerac, ville d’Art et d’Histoire où plane l’ombre de Cyrano (qui soit dit en passant n’y a jamais pointé le bout de son grand nez). Nous avons rapidement été séduits par le cœur de ville Renaissance avec ses charmantes ruelles et ses maisons à colombage, un véritable voyage à travers le temps ! Dès le lendemain, nous avons récupéré nos fidèles montures pour commencer notre périple. C’est sur une très belle voie verte aménagée le long de la Dordogne que nous avons quitté, tout en douceur, Bergerac au bord des paisibles rivages. Pause pic nic au bord de la Dordogne Après une bonne nuit de sommeil, nous avons quitté les bords de la Dordogne pour prendre un peu de hauteur et admirer la belle région d’un autre angle de vue. De petite routes serpentées nous ont ensuite menés jusqu’au sommet des cingles de Limeuil et de Trémolat depuis lequel nous avons pu admirer un magnifique panorama sur les méandres de la Dordogne et ses terres agricoles. Limeuil Notre chemin s’est ensuite poursuivi jusqu’à Limeuil, classé parmi les Plus Beaux Villages de France. Situé à la confluence de la Dordogne et de la Vézère, cette charmante cité médiévale nichée sur son promontoire rocheux offre un bel exemple de l’architecture typique du Périgord Noir avec ses anciennes échoppes et ses toits en lauze. Puis, nous avons laissé la Dordogne derrière nous pour suivre la vallée de la Vézère dite « vallée de la Préhistoire » avec sa quinzaine de sites préhistoriques classés au patrimoine mondial de l’Unesco ou monuments historiques. Nous avons ensuite décidé d’échanger nos vélos contre un canoë pour quelques heures afin de découvrir le cœur de cette belle vallée par la rivière. Notre balade a commencé face à l’impressionnante cité troglodytique de la Roque Saint-Christophe (plus grand site troglodytique d’Europe) puis s’est poursuivie au fil de l’eau, admirant grottes et falaises, au sein d’un véritable cocon de verdure ! Nous sommes passés devant l’étonnante Maison Forte de Reignac, dernier exemple intact de château-falaise en France, et l’élégant village troglodytique de La Madeleine avant de rejoindre Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil. Ce village à l’architecture troglodytique est considéré comme « la capitale mondiale de la Préhistoire », en effet c’est ici que fut découvert l’Homme de Cro-Magnon, ici qu’est implanté le Musée National de la Préhistoire et ici que se trouve la dernière grotte ornée polychrome ouverte au public, rien que ça ! Promenade en canoë sur la Vézère Maisons troglodytes Le lendemain matin nous avons décidé d’aller explorer à pied les environs des Eyzies afin de proposer une randonnée pédestre à nos clients pour varier un peu de l’activité vélo. Marche aux Eyzies Marche aux Eyzies C’est donc sous une fine bruine que nous sommes partis marcher jusqu’au vallon de Gorge d’enfer où se trouve l’Abri du Poisson, grotte ornée dans laquelle fut découverte une superbe sculpture de poisson grandeur nature (1,05m), l’une des premières représentations de poisson connue au monde. Notre marche s’est ensuite poursuivie dans les anciennes carrières de kaolin puis jusqu’au hameau du Peuch et ses maisons troglodytiques. Nous sommes enfin retournés aux Eyzies à travers la plaine agricole avec pour cadre une magnifique vue sur le village et l’ancien château troglodytique. Les Eyzies Reynac Envie de connaître la suite de nos aventures? La partie 2 sera révélée bientôt ! Restez en alerte ! #mc_embed_signup{background:#fff; clear:left; font:14px Helvetica,Arial,sans-serif; width:100%;} /* Add your own MailChimp form style overrides in your site stylesheet or in this style block. We recommend moving this block and the preceding CSS link to the HEAD of your HTML file. */ Inscrivez-vous pour apprendre à planifier votre prochain séjour vélo! 6 mails pour tout comprendre: Quand, où, comment, avec qui partir!
L'équipe du Vélo voyageur
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De la Rochelle à Bordeaux à vélo – partie 1

Une diversité de paysages, entre océan et vignobles, pour notre plus grand plaisir ! Arrivée il y a quelques mois au sein de l’équipe du Vélo Voyageur, quelles ne furent pas ma surprise et mon excitation lorsqu’Eugénie et Bérangère ont proposé que j’effectue mon premier repérage pour l’agence. Et qui plus est, de le faire en suivant une partie de la Vélodyssée, véloroute que je rêve de parcourir depuis plusieurs années déjà ! Les principaux objectifs de ce voyage à vélo étaient d’améliorer l’itinéraire lorsque nous le jugions nécessaire et surtout d’enregistrer les données GPS pour pouvoir rendre ce séjour disponible sur notre application mobile, et permettre ainsi à nos clients de profiter d’un guidage GPS depuis leur smartphone. Bref, j’étais aux anges, et impatiente de partir ! Jour J : premiers coups de pédale sur la Vélodyssée Après avoir trépigné d’impatience pendant plusieurs semaines (onze exactement, oui je les ai comptées !), refait mon sac trois fois pour que mes affaires rentrent dans les sacoches, le jour J est enfin arrivé ! Jour du grand départ. Je retrouve ainsi Chloé très tôt le mardi matin pour prendre le train depuis Paris. Direction : La Rochelle ! C’est parti pour le repérage ! La Rochelle Arrivée en milieu de matinée, nous rencontrons Florent, notre sympathique loueur de vélo, qui nous attend à la sortie de la gare. Après un rapide briefing concernant les vélos et leur incroyable selle (« aussi confortable que votre canapé » nous certifie-t-il), nous effectuons nos premiers coups de pédale sous un beau ciel bleu azur pour rejoindre le début de l’itinéraire : le vieux port de La Rochelle. L’aventure commence ! Pédaler face à l’océan Après quelques mètres à pédaler, premier dilemme : rouler sur une belle et récente piste cyclable longeant le quartier des universités de La Rochelle ou continuer le long de la côte, au bord du port des Minimes, le port de plaisance de La Rochelle. Vous l’aurez compris, le choix est vite fait, nous optons pour la deuxième option et découvrons cet impressionnant port et ses nombreux bateaux. A voiles ou à moteur, il y en a pour tous les goûts et à perte de vue ! Nous poursuivons notre chemin à vive, mais raisonnable, allure car une récompense nous attend au bout de celui-ci: l’océan ! Après avoir admiré la vue et respiré l’air pur, nous empruntons la piste longeant l’océan qui nous mènera vers le lieu de notre pause déjeuner avec au menu « moules-frites », un délice ! L’océan ! Le ventre bien rempli, nous poursuivons notre voyage à vélo sur pistes cyclables et petites routes de campagne, alternant entre vues sur l’océan, marais salants et verdure. Nous longeons ensuite l’agréable ville de Châtelaillon-Plage par la côte et roulons sur un chemin réservé aux piétons et cyclistes entre l’océan et les maisons et restaurants du bord de mer. Nous arrivons finalement dans la ville de Rochefort par des rues peu passantes, un passage par la gare et le petit port de plaisance avant d’apercevoir enfin la fameuse Corderie Royale. L’itinéraire se termine dans le centre de la ville afin de repérer les endroits où il sera bon de flâner une fois nos vélos déposés à l’hôtel. Pour clôturer cette première journée en beauté, nous profitons d’une balade et d’un magnifique coucher de soleil sur la ville de Rochefort, qui nous permet de la découvrir sous des nuances de rose, orange et violet. L’Hermione à Rochefort Coucher de soleil à Rochefort Jour 2 : de Rochefort à La Palmyre, entre pins et marais Le parcours de cette deuxième journée de repérage débute par un passage devant la Corderie Royale de Rochefort et l’Hermione, avant de se poursuivre en direction du Pont Transbordeur de Rochefort-Echillais, l’un des huit derniers ponts transbordeurs au monde,  via une agréable piste cyclable qui longe la Charente. Le pont étant en travaux jusqu’à la fin de l’année 2019, nous regagnons l’autre rive grâce à un bateau passeur et profitons de la traversée pour faire la connaissance d’un charmant couple de cyclotouristes français. Face au pont ! Après être passées par le village d’Echillais et avoir contourné quelques kilomètres plus loin celui de Saint-Agnant, nous empruntons un joli chemin de halage bien vert le long du canal de la Seudre à la Charente avant de nous retrouver au milieu des prés salés du marais de Brouage, entourées de nombreuses espèces d’oiseaux. Marais de Brouage Nous pédalons quelques kilomètres avec un vent de face qui nous ralentit bien mais sommes récompensées lorsque nous apercevons au loin la cité fortifiée de Brouage. C’est à cet instant que nous quittons l’itinéraire officiel de la Vélodyssée pour traverser ce village qui figure parmi les plus beaux villages de France, car il aurait été vraiment dommage de manquer ça ! Notre périple ne s’arrête pas ici ! Envie de connaître la suite ? Restez attentifs, nous posterons bientôt la 2e partie de notre voyage ! Mathilde & Chloé #mc_embed_signup{background:#fff; clear:left; font:14px Helvetica,Arial,sans-serif; width:100%;} /* Add your own MailChimp form style overrides in your site stylesheet or in this style block. We recommend moving this block and the preceding CSS link to the HEAD of your HTML file. */ Inscrivez-vous pour apprendre à planifier votre prochain séjour vélo! 6 mails pour tout comprendre: Quand, où, comment, avec qui partir!
Joseph
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Le Portugal à vélo de Porto à Lisbonne

La haute saison touche à sa fin, il est temps pour l’équipe du Vélo Voyageur de partir en repérage pour vous concocter de nouvelles surprises ! Nous débarquons donc mi-octobre au Portugal pour nos futurs repérages. A la découverte de Porto Départ de l’aéroport d’Orly avec Josselyne pour nous envoler direction Porto. Arrivées dans cette très jolie ville, nous sommes accueillies par Céline, notre correspondante locale. La météo n’étant pas de la partie ce jour-là, Oscar, son collègue, arrive avec son van et nous partons tous les 4 à la découverte de Porto. Céline nous fait visiter la ville ainsi que les hôtels partenaires avec lesquels nous travaillerons. La ville de Porto et le fleuve Douro Emerveillées par cette ville colorée traversée par le Douro, notre journée de visite s’achève par une visite surprise…. la découverte d’une cave et dégustation de vin de Porto. Nous y apprenons tout le processus de fabrication et de conservation des vins et dégustons différentes boissons toutes aussi délicieuses les unes que les autres. Notre première journée se termine dans un restaurant traditionnel du centre de Porto. Nous y dégustons différentes spécialités telles que le poisson fumé ou bien le vinho verde portugais ! Un vrai délice ! Pistes cyclables et splendeurs de la côte atlantique Mais nous ne sommes pas ici pour ne manger que du poisson frais ou déguster du vin… quoi que ! Le réel but de notre voyage est de repérer les futurs itinéraire du Vélo Voyageur. Il est donc l’heure d’enfourcher notre vélo pour nous atteler à la tâche. Après un bon petit déjeuner pris à l’hôtel, nous participons au briefing réalisé par notre agent local et nous voilà fin prêtes pour partir à l’aventure ! Nous parvenons à sortir de la ville de Porto en empruntant le pont surplombant le Douro. Un dernier coup d’œil sur la ville et nous voilà pédalant une superbe piste cyclable bordant l’océan. Le temps de prendre une photo de la plage et nous reprenons nos vélos ! La piste cyclable nous accompagnera tout au long de cette première étape et nous permettra des découvrir les immenses plages de l’Atlantique, ses vagues majestueuses ainsi que de très jolies forêts de pins. Nous arrivons alors à Fouradouro, dans notre superbe hôtel surplombant la plage. Il est temps de profiter d’une balade sur le sable au coucher du soleil avant de se prélasser au spa de l’hôtel ! Un repos bien mérité après cette première journée à vélo. Les pistes cyclables le long de la plage Pédaler vers les dunes et visite d’Aveiro Départ ce matin en direction d’Aveiro. Nous passons par le joli village de pêcheur de Costa Nova pour y admirer ses maisons de plage colorées et si caractéristiques de la région et pédalons ensuite à travers les villages environnants. Aveiro et ses maisons colorées Nous longeons alors des marais avant d’atteindre la magnifique plage de Sao Jacinto et ses incroyables dunes de sable. Après une petite pause au soleil, nous prenons un bateau qui nous amène à Aveiro, la Venise portugaise. Et là, quelle belle surprise ! Nous découvrons une lagune et des gondoles comme à Venise. Des gondoles comme à Venise Nous décidons de laisser nos vélos à l’hôtel pour explorer les rues pavées d’Aveiro. Lors de notre visite, nous découvrons la spécialité locale, « ovos moles » soit « œufs mous » en français. Il s’agit d’une pâtisserie à base de jaune d’œufs originaire de la ville d’Aveiro. A ne pas manquer après une journée à vélo ! La côte des surfeurs et le village d’Obidos Debout 9h30 ce matin, il est temps pour nous d’enfourcher de nouveau notre vélo pour admirer les plus belles plages de la côte atlantique portugaise.  Nous pédalons entre villages et forêt pour atteindre les plages et la ville de Figueira da Foz dans laquelle nous logerons cette nuit. Nous poursuivons notre route pour rejoindre le spot de Nazaré (connu mondialement pour le surf). A notre arrivée, nous découvrons une superbe plage mais également un très joli village avec ses femmes portant l’habit traditionnel (une jupe aux 7 volants). Nous continuons à rouler et nous arrêtons déjeuner du poisson frais en profitant d’une vue sur l’océan atlantique. Nous sommes prêtes pour affronter les quelques côtes nous permettant de profiter d’un panorama sur les plus belles plages des environs. Les vagues sont impressionnantes. Après quelques efforts (notre ami le vent étant de la partie !), nous arrivons à Obidos, très beau village fortifié. Nous posons nos vélos et découvrons la ville à pieds. Nous sommes enchantées par ses ruelles pavées, ses couleurs, ses fleurs ainsi que son imposant château médiéval. Une belle façon de terminer ce périple à vélo….enfin terminer…pas encore ! Il ne nous reste plus qu’à attendre notre transfert en van vers Lisbonne. L’imposant Château médiéval Et c’est parti pour la dernière étape du voyage, la découverte de la capitale portugaise ! A peine arrivées à l’hôtel, nous repartons explorer la ville. Juste le temps pour nous de compléter notre séjour sportif en montant les nombreuses marches de la ville aux sept collines et déguster un très bon poisson dans un restaurant typique de Lisbonne. Lisbonne, magnifique ville Vous laisserez-vous aussi séduire l’an prochain par les charmes du littoral portugais ? #mc_embed_signup{background:#fff; clear:left; font:14px Helvetica,Arial,sans-serif; width:100%;} /* Add your own MailChimp form style overrides in your site stylesheet or in this style block. 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L'équipe du Vélo voyageur
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La Vallée du Doubs à vélo entre Belfort et Besançon

La Vallée du « Doubs » figurait depuis longtemps sur notre liste de destinations à découvrir à vélo. Dans la communauté des cyclotouristes avertis, cette portion de l’Eurovelo 6 a, en effet, la réputation d’être un bijou bien gardé, offrant certains des plus beaux paysages de l’itinéraire. Et pourtant, elle est loin d’être la plus connue du grand public. Nous avons donc entrepris d’aller explorer la Vallée du Doubs par nous-mêmes, malgré quelques appréhensions sur l’organisation. Trouver des partenaires semble être un défi, à commencer par les vélos de location. Nous décidons donc avec Eugénie de mettre nos vélos personnels dans le train régional Paris-Belfort, qui accepte les vélos sans prévoir d’espace dédié et nous voilà partie pour notre repérage ! De Belfort à Montbéliard, découverte d’une riche histoire industrielle Après un looong voyage depuis Paris pour Eugénie et Bruxelles pour Bérangère (et beaucoup de trains), nous arrivons enfin à Belfort en fin de journée sous un magnifique ciel rougeoyant. Nous logeons près de la gare. Le centre-ville de Belfort que nous découvrons essentiellement le lendemain est cossu et présente une architecture typique de l’Est : maisons aux façades colorées, balconnières fleuries et rues piétonnes bien aménagées. Les hôteliers auxquels nous allons rendre visite nous parlent d’une fréquentation professionnelle. Les industries sont encore dynamiques dans la région, même si l’affaire General Electric agite les débats locaux et nationaux. La région est également une terre de vélo, les massifs vosgiens ayant la côte auprès des sportifs et du Tour de France qui y fait régulièrement étape. Kiosque et hôtel de ville de Belfort Nous passons ensuite rendre hommage au fameux Lion de Bartholdi, achetons le pique-nique et enfourchons nos vélos. Nous sommes impatientes d’aller tester le parcours vélo dont tout le monde ici aussi nous fait les éloges et séduites dès le début ! La sortie de Belfort emprunte une piste cyclable bucolique le long d’une rivière joliment nommée La Savoureuse. Deux options sont ensuite possibles pour rejoindre l’Eurovelo 6 qui ne passe pas officiellement à Belfort : la Coulée Verte qui est le chemin le plus court, ou l’itinéraire de liaison n°643 passant par Moval et la gare TGV Besançon-Montbéliard. Nous nous séparons pour tester les deux options. Nos chemins se rejoignent à Brognard, où nous choisissons de quitter l’itinéraire officiel pour faire un détour par Sochaux et visiter le Musée de l’Aventure Peugeot. On y raconte la grande épopée industrielle et on y présente l’incroyable diversité des objets produits par Peugeot, avec un brin de nostalgie. La fin de l’étape est en ville mais reste agréable car sécurisée. Après la voie ferrée nous débouchons directement dans le centre-ville de Montbéliard dominé par un joli château de style Renaissance. Nous faisons un dernier effort pour y monter et profiter du point de vue – très industriel – depuis l’esplanade. De Montbéliard à Besançon, la vallée du Doubs sauvage Au berceau de l’automobile, celle-ci est encore reine. Nous errons pour trouver un itinéraire de sortie de Montbéliard efficace et agréable à vélo. Nous finissons par rejoindre une magnifique voie de halage le long du Canal du Rhône au Rhin. On quitte ensuite très vite l’agglomération et comprenons pourquoi la Vallée du Doubs charme tant les amateurs de voyage à vélo. On pédale sur un chemin sécurisé, au milieu de paysages vallonnés et verdoyants. Toute la palette du vert s’étale sous nos yeux, mouchetée ça et là des teintes ocres des villages et des couleurs vives des clochers vernissés.  L’itinéraire est principalement plat car on est souvent très proche de l’eau, mais il ondule dès qu’on s’en éloigne. Il faut prévoir quelques montées, peu méchantes, qui peuvent même être parcourues à pied. Nous faisons une pause déjeuner à L’Isle-sur-le-Doubs où nous nous sommes retenues de goûter la friture de carpe, grande spécialité locale, de peur d’avoir l’estomac trop lourd sur le vélo. Nous quittons le canal pour rejoindre les méandres du Doubs, qui nous réserve des points de vue tout aussi enchanteurs. Nous nous sentons littéralement apaisées par la quiétude de la nature environnante. Les traversées de villages ne rompent pas le charme tant elles sont brèves. Boucles du Doubs Nous finissons l’étape sous une lumière rasante qui rajoute à la magie des paysages. Le Doubs se faufile entre les formations rocheuses, et au détour d’un tournant, nous révèle Baume-les-Dames adossée à flanc de colline. Les derniers mètres en montée n’entament pas notre enthousiasme ! Le lendemain nous nous remettons en route vers Besançon. La véloroute est toujours aussi bien indiquée et nous laisse pédaler sans se soucier des directions. On roule parfois sur des routes partagées avec les voitures, sur lesquelles nous voyons plus de barbecues que de véhicules. A force d’humer les grillades, nos estomacs se rappellent à nous. Nous pédalons donc jusqu’à Deluz croyant y trouver un restaurant ou une boulangerie mais peine perdue, on nous indique d’aller jusqu’à Vaire. Nous avons la bonne surprise de trouver en route une friterie mobile avec quelques tables au bord de l’eau abritées du soleil. C’est le rendez-vous du week-end pour les gens du coin, et pour nous c’est un cadeau tombé du ciel ! Nous repartons bien rassasiées faire les derniers kilomètres jusqu’à la capitale de la Bourgogne-Franche-Comté. Elle nous semble plus loin qu’escompté. Nous n’avons pas l’impression d’approcher une grande ville jusqu’au moment nous nous retrouvons à l’ombre de la citadelle de Besançon. La piste cyclable nous mène en douceur jusqu’au centre-ville rendu piétonnier les samedis. Nous allons mettre les vélos en lieu sûr et découvrons cette ville majestueuse et animée à pied. Nous concluons cette première partie de repérage par une soirée tapas bien méritée au bord du Doubs, dans la douceur d’une chaude soirée de septembre. Arrivée sur la piste cyclable à Clerval Suite de nos aventures dans la Vallée du Doubs au prochain épisode ! #mc_embed_signup{background:#fff; clear:left; font:14px Helvetica,Arial,sans-serif; width:100%;} /* Add your own MailChimp form style overrides in your site stylesheet or in this style block. 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Bérangère
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A la redécouverte de l’Ile d’Oléron

Une première pour moi, Bérangère dans l’histoire du Vélo Voyageur : je profite d’une semaine de vacances en famille sur l’île d’Oléron pour prolonger mon séjour et monter en selle début août ! Mes objectifs : digitalisation et amélioration continue des circuits. Mon repérage commence et je remarque, en plein mois d’été, que les pistes cyclables sont bien plus fréquentées que d’habitude. En effet, les familles sont de sortie et je croise un nombre impressionnant de remorques, vélos suiveurs et petits vélos. Je suis même heureuse de constater l’apparition de la remorque pour paddle. Comme quoi, le vélo n’est pas incompatible avec un chargement conséquent. Excursion vers La Cotinière, le centre de l’île et les plages Depuis mon point de chute dans la maison de vacances familiale, je pédale vers Saint-Trojan où séjournent nos « vélos voyageurs » lorsqu’ils font étape sur l’ile d’Oléron. Mon excursion commence par une visite aux hôteliers avec lesquels nous travaillons. C’est toujours un plaisir de discuter de visu avec ceux à qui l’on parle toute l’année par email et par téléphone ! Pour le repérage, l’idée cette fois est de tester une nouvelle boucle passant par l’intérieur de l’île, pour découvrir les zones rurales et les villes intérieures de Dolus et Saint-Pierre avant de revenir le long de la côte en passant par La Cotinière. La balade commence donc sous les pins puis emprunte de petits chemins à travers les marais. Je tombe une nouvelle fois sous le charme des cabanes colorées du petit Port des Salines, où se tient les mercredis un marché de producteurs. La plupart des visiteurs y accèdent à vélo ce qui en fait un lieu très nature. Le port des Salines J’emprunte ensuite la « dorsale », c’est-à-dire la piste cyclable traversant le centre de l’ile. Je fais alors une petite incursion dans le centre-ville de Dolus avant de poursuivre ma route. Tout au long du chemin, les paysages sont vraiment variés, tantôt forêts, vignes ou marais. Je retrouve dans La Boirie l’atmosphère des vacances de mon enfance, hors du temps. C’est un petit village typique d’Oléron avec ses vieilles maisons en pierre, escaliers extérieurs et chais. On peut aussi y découvrir un jardin botanique d’exception. Je mets ensuite le cap vers Saint-Pierre repérable grâce à sa lanterne aux morts et le clocher octogonal de son église se dressant au loin. Après Saint-Pierre, je retrouve la fréquentation estivale car je poursuis ma route en direction de la côte jusqu’au Port de La Cotinière. Ce port de pêche fourmille à toute heure entre l’activité des marins pêcheurs et les badauds qui viennent regarder les bateaux et y faire leurs emplettes. Maison de village “La Boirie” Le Port de la Cotinière Pour boucler cette étape, je choisis de prendre la piste cyclable longeant la route côtière. Si elle est parfois encombrée par les vacanciers qui se rendent sur les plages, elle offre également de multiples possibilités de baignade afin de bien terminer la journée. Malheureusement, comme souvent en repérage, le temps me manque pour profiter des avantages… Pas de plongeon donc pour moi aujourd’hui ! De Saint-Trojan à Boyardville par la route des huîtres Le lendemain, je décide de tester à nouveau la dernière étape de nos circuits sur l’ile d’Oléron : l’itinéraire jusqu’à Boyardville où nos voyageurs prennent un bateau à destination de La Rochelle avec leurs vélos. Le parcours repasse par le Port des Salines puis il bifurque, après les marais ostréicoles d’Ors, vers Le Château. La ville du Château a été fortifiée par Vauban et mérite une petite halte. En effet, les anciennes cabanes ostréicoles ont été investies par des artisans d’art qui y présentent leurs créations. Après un rapide coup d’oeil, je dois malheureusement me remettre en route car j’ai également prévu de prendre le bateau. Je m’élance donc sur la route côtière. Elle est partagée avec les voitures mais elle est bien large. On l’appelle la « route des huîtres » car elle mène aux parcs et au port ostréicole de La Baudissière. Après Les Allards, le parcours serpente à travers les marais jusqu’à Boyardville. J’ai eu beaucoup de vent en route et dois bien sûr m’arrêter à chaque intersection pour enregistrer les indications. Mais ouf ! J’arrive juste à temps à l’embarcadère du bateau et profite de la traversée pour reprendre mon souffle, avant … la suite de mes aventures ! Direction l’île de Ré, je vous raconte ça au prochain épisode ! 🙂
Bérangère
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Copenhague, la ville “vélo-friendly”

Connaissez-vous Copenhague ? Elle est en tête des villes d’Europe à découvrir absolument à vélo ! Et pour cause, elle possède plus de 350 kilomètres de voies cyclables. On y croise d’ailleurs plus de vélos que de voiture dans le centre-ville. Bref, c’est le paradis du vélo on vous dit ! www.toogoodtogo.be Tout le monde à vélo Dans la capitale danoise, un tiers des habitants se déplace à vélo pour aller travailler. On croise donc des personnes habillées en costumes, talons, jupes pédaler sans effort sur les pistes cyclables surélevées, séparées de la route et donc en totale sécurité. Tout est joignable à vélo : les plages, forêts, parcs d’attraction, etc. Les distances sont très courtes d’un point à l’autre donc tout se fait assez facilement. www.lasuededurable.com Mais ce n’est pas tout car la moitié des enfants de 10 à 16 ans utilisent également le vélo pour se déplacer et se rendre à l’école. Une ville repensée pour le vélo A Copenhague, le plan d’urbanisme a totalement été repensé pour mieux correspondre aux vélos. Ainsi, le réseau cyclable y est particulièrement dense et couvre ainsi la quasi-totalité des routes. Les pistes cyclables y sont d’ailleurs aussi larges que les routes. De plus, les feux de signalisation sont synchronisés en fonction de la vitesse moyenne d’un vélo. Ainsi si on prend son vélo à l’heure de pointe et que notre moyenne est de 20km/h, on ne doit pas s’arrêter car les feux de circulation sont réglés pour suivre la vitesse des vélos et non des voitures. Pas étonnant du coup que la ville ait été nommée la meilleure ville cyclable au monde deux années consécutives. www.detours.canal.fr Par ailleurs, si le cycliste fatigue, ou que le temps est menaçant dehors, tout a été pensé en terme de transports en commun (bus, trains, métros) pour accueillir les propriétaires et leur vélo. A 17h, c’est ainsi la totale heure de pointe à vélo. On peut y voir un essaim de cyclistes pédaler à un rythme soutenu : hommes, femmes, enfants, adolescents, touristes. C’est une fin de journée normale dans la capitale nordique. Comme partout, les automobilistes pestent Les automobilistes pestent contre les vélos, comme partout, mais là-bas, c’est différent car ils sont souvent, pour la plupart, cyclistes à mi-temps. Envie d’aller y faire un tour ? Si vous rêvez d’aller découvrir Copenhague à vélo, surtout n’emportez pas votre vélo jusque là. Il y a des magasins de location de vélo partout dans la ville. Pour un jour, il faut payer environ 10€ et environ 47€ pour la semaine. #mc_embed_signup{background:#fff; clear:left; font:14px Helvetica,Arial,sans-serif; width:100%;} /* Add your own MailChimp form style overrides in your site stylesheet or in this style block. We recommend moving this block and the preceding CSS link to the HEAD of your HTML file. */ Inscrivez-vous pour apprendre à planifier votre prochain séjour vélo! 6 mails pour tout comprendre: Quand, où, comment, avec qui partir!
Eugénie
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Comment choisir son porte-vélo de voiture?

C’est la saison idéale pour partir un week-end avec son vélo, rouler en pleine nature et profiter encore des beaux jours avant qu’ils se refroidissent. Mais avez-vous le bon porte-vélo ? Ou vous n’en avez pas mais aimeriez en acheter un ? Comment choisir parmi les nombreuses solutions qui existent ? Copyright : www.lap.be Il y a plusieurs critères à prendre en compte dans votre achat : La facilité d’installation du dispositif La durée des trajets Le nombre de vélos que vous souhaitez transporter Votre budget Regardons de plus près les différents types de porte-vélos qui existent ! 1. Le porte vélo sur le toit de la voiture Pour ajouter un porte-vélo sur votre voiture, il est nécessaire de fixer une barre sur le toit de votre véhicule. Mais une fois chose faite, cela vous permet de transporter facilement 1 à 4 vélos. De plus, ces portes-vélos de toit sont souvent compatibles avec différents types de vélos et de véhicules. Le montage est facile. Et ensuite, il vous suffit de bloquer le vélo mais de renforcer sa fixation avec des sangles. C’est un plus au niveau sécurité. Ce qu’il faut par contre savoir, c’est qu’en optant pour cette solution, l’aérodynamisme de la voiture en pâtit. Notamment lorsqu’il y a du vent et au niveau de la consommation de carburant. Faites également attention quand vous passez sous un pont, ou sous des passages à hauteur limitée. Ce qui n’est peut-être pas idéal comme option si votre voiture est déjà haute… Copyright : www.autocenterderudder.be 2. Le porte vélo dans le coffre de la voiture Le côté pratique de ce type de support est qu’il s’installe à l’intérieur de la voiture. Attention toutefois à bien protéger l’intérieur de votre voiture de toute éventuelle trace de graisse due à la chaîne ou aux traces de pneus. C’est sur le système d’attache des sièges arrière que la barre de fixation vient se monter. Cependant, pour avoir ce type de porte-vélo, il faut tout d’abord un voiture avec un grand offre. Ou alors, ce qui est peut être faisable aussi est d’avoir un véhicule dont les sièges arrières peuvent se défaire. Au niveau quantité de vélos à transporter, on peut aller dans ce cas de 1 à 3 vélos. Copyright : Alltricks.fr 3. Le porte vélo sur le coffre de la voiture Tout d’abord, un avantage de cette solution est qu’elle peut s’avérer assez économique. Mais il faut toutefois faire attention à bien se renseigner sur la compatibilité du modèle avec la voiture qu’on possède, car tous les systèmes ne fonctionnent pas avec n’importe quel véhicule. Si vous optez pour ce modèle, il est important de prévoir une plaque minéralogique pour votre porte-vélo. En effet, celui-ci cachera celle présente. Ayez en tête également que vous perdrez un peu de visibilité à l’arrière de votre véhicule et donc qu’il faudra rester vigilant pour les marches arrières ou tout type de manoeuvre. Prévoyez également un antivol lorsque vous vous arrêtez sur la route. Copyright : www.05covoiturage.fr 4. Le porte-vélo sur la boule à l’arrière de votre véhicule L’avantage de cette solution est qu’il permet de prendre beaucoup de vélos en une fois. Il s’agit en fait d’un clipse qui s’installe directement sur la boule d’attelage. Pour l’enlever, c’est assez simple, car il suffit de le déclipser. On fixe ensuite les vélos sur le bloque cadre et on les maintient grâce à une sangle. Votre vélo pourra soit être suspendu soit reposer sur une plateforme. Il y a également les remorques sur boule qui sont particulièrement pratiques pour transporter de nombreux vélos. C’est le transport recommandé pour les longs déplacements car il offre le plus de sécurité. Certains disposent même de feux arrières ainsi qu’un espace supplémentaire pour une seconde plaque d’immatriculation. Copyright : materiel.hellopro.fr Avant de prendre la route avec votre nouveau porte-vélo, veillez cependant aux informations suivantes : Que vos vélos soient correctement fixés. De ne pas dépasser la charge maximale autorisée par votre porte-vélos. Que les feux arrière et la plaque d’immatriculation de votre véhicule soient visibles. Que vos vélos soient bien protégés avec un antivol. Contrôler régulièrement les attaches de vos vélos ainsi que les sangles. Vérifier le moindre mouvement et le moindre bruit que peut faire votre porte-vélo pendant le trajet. Alors vous avez décidé où vous partirez votre prochain week-end disponible ? #mc_embed_signup{background:#fff; clear:left; font:14px Helvetica,Arial,sans-serif; width:100%;} /* Add your own MailChimp form style overrides in your site stylesheet or in this style block. We recommend moving this block and the preceding CSS link to the HEAD of your HTML file. */ Inscrivez-vous pour apprendre à planifier votre prochain séjour vélo! 6 mails pour tout comprendre: Quand, où, comment, avec qui partir!
Bérangère
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Le long des fleuves à vélo

Rouler le long d’un fleuve, c’est une foule d’avantages. On roule au bruit du cours d’eau donc c’est assez reposant. On est en pleine nature. Et en plus de cela, c’est généralement plat et donc idéal pour un séjour reposant entre amis, couples ou en famille. Elle est pas belle la vie ? Chez Vélo Voyageur, on aime ce genre de parcours. On vous en a donc sélectionné 3. Et autant vous dire qu’entre La Loire, Le Rhône et la Moselle, notre coeur balance, pas vous ? Le long du Rhône de Vienne à Avignon © C. Martelet/Auvergne-Rhône-Alpes Tourisme Le long du Rhône se trouve cet itinéraire balisé et sécurisé de la ViaRhôna le long des vignobles des Côtes-du-Rhône ou des champs de lavandes de Provence. Pour ce séjour, vous parcourez des richesses patrimoniales de plus de 2000 ans d’histoire. De la ville d’Avignon et son Palais des Papes, au théâtre antique de Vienne, ou encore en passant par le château de Rochemaure, Orange et son arc de Thriomphe, vous en prendrez plein la vue. Et surtout, vous voyagerez à travers le temps. Les paysages vous impressionnerons également : les vignobles des Côtes-du-Rhône à ceux de Châteauneuf-du-Pape, les champs de lavande, la réserve naturelle de l’Ile de la Platière, les Monts et vergers de l’Ardèche, etc. Vous admirerez plusieurs fois les nombreux ponts qui enjambent le Rhône, de véritables oeuvres historiques. De plus, pour les gourmands, vous aurez l’occasion de goûter à la grande diversité gastronomique de la région comme le fameux nougat de Montélimar. Entre voies vertes et voies partagées, c’est un itinéraire qui vous fera voyager parmi les richesses de 5 départements aux cultures variées. Envie d’en savoir plus sur le séjour? C’est ici. La Loire à vélo entre Blois et Saumur La Loire à vélo vous emmènera à travers les vignobles, le long des troglodytes et vers les plus beaux châteaux du Val de Loire. Entre Blois et Saumur, en passant par Amboise, Tours, Chinons, vous découvrez en détail les beautés de la vallée de la Loire ainsi que les villes médiévales qui ont fait sa rénommée. Vous prendrez ainsi le temps de visiter le château de Chambord, le château de Cheverny, le château de Chenonceau, le château de Villandry ou encore les jardins du château de Chaumont. Mais rouler à vélo le long de la Loire, c’est aussi profiter des pistes cyclables qui longent les nombreux vignobles, les champs, la majestueuse forêt de Chambord et ses arbres centenaires ainsi que les fameuses maisons troglodytiques. Un parcours qui émerveillera autant les petits que les grands ! Envie d’en savoir plus? C’est par ici. La Moselle à vélo © Mosellandtouristik Amoureux de la culture, de la nature et du vin ? La Moselle à vélo est la destination vélo idéale. Vous partez de Trèves, une des plus anciennes villes d’Allemagne, surnommée “la deuxième Rome” et classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO. De là vous suivez les méandres du fleuve jusqu’à la belle ville de Coblence en suivant la route des vins. Vous traverser des petits villages viticoles idylliques, comme Piesport ou le village de Neumagen-Dhron, le plus ancien village viticole d’Allemagne. Et vous longez des châteaux forts comme Burg Eltz qui est sans aucun doute l’un des sites les plus beaux et les mieux conservés en Allemagne et Reichsburg-Cochem et son château impérial du XI siècle. Au pied des massifs schisteux vous traversez les vignobles et une campagne paisible et verdoyante jusqu’à atteindre la belle ville de Coblence dont le centre-ville est au confluent de la Moselle et du Rhin et est idéal pour une dernière promenade le long de l’eau. Envie d’en savoir plus? C’est par ici. #mc_embed_signup{background:#fff; clear:left; font:14px Helvetica,Arial,sans-serif; width:100%;} /* Add your own MailChimp form style overrides in your site stylesheet or in this style block. We recommend moving this block and the preceding CSS link to the HEAD of your HTML file. */ Inscrivez-vous pour apprendre à planifier votre prochain séjour vélo! 6 mails pour tout comprendre: Quand, où, comment, avec qui partir!
L'équipe du Vélo voyageur
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Un city-trip à vélo ?

Septembre est là, et avec lui, le retour au boulot, la rentrée des classes et la fin de l’été… Mais si on prolongeait un peu l’été avec un city trip pas trop loin histoire de s’évader encore un peu ? Connaissez-vous Amsterdam ? C’est LA capitale du cyclotourisme. L’occasion de mixer le vélo et les visites culturelles. Découvrez-en plus dans notre article ! A Amsterdam, le vélo, c’est un peu le moyen de transport adopté de tous. Et c’est devenu un vrai mode de vie. La ville s’y prête plutôt parfaitement et en un week-end, vous pouvez facilement faire le tour. De plus, c’est la ville qui a la plus grande densité de musées au monde. Parfait pour mixer sport et culture. Comment vous déplacer à vélo à Amsterdam ? Pour vous déplacer à bicyclette dans la ville en toute sécurité, voici quelques conseils à prendre en compte : Ne mettez pas les autres personnes en danger en roulant sur les routes. Il y a des pistes cyclables partout, prenez-les ! Mais ne vous y arrêtez pas en plein milieu. Les Amsterdammers roulent assez vite ! Le vélo est une habitude pour eux. Ne vous inquiétez pas, allez à votre rythme et suivez les indications. Les pistes cyclables sont uniquement réservées aux cyclistes donc vous avez le champ libre. Envie de garer votre vélo ? Il y a des abris-vélos surveillés moyennant des frais minimes que vous trouverez à peu près partout. N’oubliez pas de fermer votre antivol. Mais le plus grand parking est celui de la gare centrale qui peut accueillir jusqu’à 7000 vélos. Aucun équivalent pareil dans le monde ! Pour vous rendre aux points d’intérêts de la ville, rendez-vous à l’Office du tourisme local. Ils vous conseilleront les différents musées à voir absolument. A la découverte d’Amsterdam Garer sa voiture à Amsterdam, c’est coûteux. Le vélo reste donc la meilleure option pour visiter la ville. Une fois les règles de conduite à vélo bien maitrisées, il s’agit de partir à la découverte de la ville. Une journée, vous pouvez déjà voir pas mal de choses : Longer les canaux, passer les ponts Traverser le parc de la ville, le Vondelpark Aller jusqu’au Musée Van Gogh situé sur la Museumplein. Célèbre pour son style et son usage de couleurs, on vous recommande cet autodidacte. Voir la maison d’Anne Frank, située dans le centre de la ville. Musée touchant et émouvant. Le Rijksmuseum est un musée incontournable. Il comprend 3 départements principaux : Peinture, Sculpture & Arts Décoratifs ainsi que Arts asiatique. On peut y voir du Rembrandt, du Vermeer, Van Dijk ou même Rubens. Le Begijnhof (béguinage en français) est un de trésors cachés de la ville. C’est un lieu de recueillement où plusieurs miracles se sont déroulés. Le marché aux fleurs sur l’eau se tient uniquement sur des péniches et est à avoir absolument. “Le Musée Van Gogh” : plongez-vous dans l’univers de Vincent van Gogh, célèbre pour son style et son usage des couleurs. Il a acquis l’image d’un autodidacte génial qui, par des gestes et frénétiques, appliquait de la peinture sur ses toiles. Le Musée Van Gogh est situé sur la Museumplein. Achetez vos places à l’avance sur le site car il est très fréquenté et de longues files risquent de vous attendre. Comment louer son vélo à Amsterdam ? Pour louer son vélo, rien de plus simple ! Rendez-vous à l’office du tourisme de la ville et prenez-y une carte “Amsterdam à vélo“. Cette carte comprend toutes les routes à vélo de la ville mais également les endroits pour louer un vélo, les réparateurs de vélo, les zones limitées et ce qu’il faut savoir avant de louer son vélo. Vous le verrez, la plupart des vélo de la ville sont des vélos assez traditionnels sans vitesse et un système de rétropédalage (pédaler à l’envers pour freiner. Mais c’est un bon choix car ils sont assez faciles à manipuler. A vous de jouer maintenant! On vous souhaite un bon city trip, profitez-en ! #mc_embed_signup{background:#fff; clear:left; font:14px Helvetica,Arial,sans-serif; width:100%;} /* Add your own MailChimp form style overrides in your site stylesheet or in this style block. We recommend moving this block and the preceding CSS link to the HEAD of your HTML file. */ Inscrivez-vous pour apprendre à planifier votre prochain séjour vélo! 6 mails pour tout comprendre: Quand, où, comment, avec qui partir!
Bérangère
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Les vacances à la mer

Les mois d’été approchent à grand pas et il est temps de penser à réserver vos vacances ! Et si, cette année, vous partiez voir la mer… ou plutôt l’océan atlantique ? Des vacances, à vélo, au bord de l’eau, à respirer le bon air de l’océan, faire le plein d’iode et surtout découvrir la Vendée à vélo ! L’océan atlantique La Vendée, c’est LA destination à choisir pour vos vacances à vélo en famille. Cette région offre une mosaïque d’expériences, allant de la dégustation d’huîtres dans les ports ostréicoles, aux baignades sur des plages de sable infinies en passant par la visite de lieux chargés d’histoire, comme la Maison de Georges Clémenceau. C’est une région dynamique fière de ses valeurs et dont les pistes cyclables sécurisées permettent de parcourir aisément le littoral et profiter de la richesse de l’environnement. Découvrez sans plus tarder nos 3 nouveaux itinéraires : 1. 4 jours à la découverte des trésors de l’Atlantique Entre Pornic et Les Sables d’Olonne, ce séjour vous dévoilera les merveilles de la côte atlantique. Vous serez impressionnés par le paysage de la côte rocheuse, par les charmants villages par lesquels vous pédalerez. Vous ferez notamment une halte à Bouin et sur l’île de Noirmoutier, en passant par le fameux passage du Gois qui s’emprunte uniquement à marée basse. Vous roulerez à travers les marais salants, les anciens moulins en longeant les plages de l’île. Vous traverserez des forêts de pins jusqu’à la station balnéaire de Saint-Jeans-des-Monts. Vous quitterez cet endroit en longeant l’océan, avec une vue imprenable sur la corniche vendéenne. Vous entamerez ensuite la dernière étape du parcours jusqu’à la magnifique baie des Sables d’Olonne. Un magnifique itinéraire pour découvrir le littoral atlantique en Vendée ! Envie d’en savoir plus sur le voyage ? Cliquez ici 2. Huit jours de Pornic à La Rochelle Durant une semaine, vous roulerez à vélo sur la Vélodyssée à la découverte des trésors de la côte atlantique. Votre parcours commencera également à Pornic avant de vous mener sur les rives de la Baie de Bourgneuf. Après l’étape de Bouin, au milieu des marais bretons, vous partirez pour l’île de Noirmoutier. Votre séjour vous donnera la possibilité d’y passer une journée supplémentaire afin d’explorer l’île plus en profondeur. Vous aurez alors la possibilité de longer la côte nord jusqu’au port de L’Herbaudière avant de revenir à travers les marais salants. L’occasion de prendre le temps de visiter le château de Noirmoutier et de faire halte sur l’une des jolies plages pour lézarder et vous baigner. Le passage vers l’île de Noirmoutier Vous continuerez ensuite à descendre la côté vendéenne où se succèderont des grandes plages de sable, le littoral rocheux, les marais ostréicoles et les forêts de pins. Vous passerez par les stations balnéaires de Saint-Jean-de-Monts, Les Sables d’Olonne ou La Tranche-sur-Mer afin d’y déguster les produits typiques de la région. Et votre voyage se terminera cette fois jusqu’à la Rochelle, en traversant la Baie de l’Aiguillon. Envie d’en savoir plus sur le séjour ? C’est par ici. 3. La côte atlantique de Nantes à la Rochelle Pendant 8 jours, vous roulerez sur le circuit de la Vélodyssée entre Nantes et La Rochelle. Ce parcours vous fera découvrir des paysages étonnement changeans. En effet, le début de l’itinéraire, entre Nantes et Pornic vous donnera l’impression de parcourir le paysage breton de part l’architecture des différents châteaux. Après Pornic, l’atmosphère change, vous entrez alors en Vendée. Tout au long de votre itinéraire, vous parcourez de longues étendues, des marais ostréicoles ou des forêts. La piste cyclable le long de la mer vous permettra de profiter amplement de l’air frais de l’océan. Votre périple se terminera en Charente-Maritime sur le Vieux Port de La Rochelle. Envie d’en savoir plus sur le séjour ? C’est par ici. #mc_embed_signup{background:#fff; clear:left; font:14px Helvetica,Arial,sans-serif; width:100%;} /* Add your own MailChimp form style overrides in your site stylesheet or in this style block. We recommend moving this block and the preceding CSS link to the HEAD of your HTML file. */ Inscrivez-vous pour apprendre à planifier votre prochain séjour vélo! 6 mails pour tout comprendre: Quand, où, comment, avec qui partir!
Bérangère
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